Treslater, v. : mot fantôme signifiant « transporter, transférer ».
Par dérivation personnelle : traduire, d’une langue fantôme à une autre.
Dans l’ombre, écouter les spectres, leur trouver de nouvelles incarnations.
À métier fantôme, mot fantôme.
Ce que j’ai treslaté :
- Ellen Willis – Pour l’amour d’EmmaGoldman, bien sûr.
- Elizabeth Bishop — « Crusoé en Angleterre »Penser l’insulaire par la poésie.
- Rob Gallagher – « Punk comme un porc »Ado et coupable ?
- David Toop – « Sauver l’ambient »Vous reprendrez bien un peu de réalité ?
- Il faut traduire Ellen WillisJ’insiste.
- Elizabeth Bishop – Deux poèmesContre l’épuisement.
- Loup Uberto – Racconto ArtigianoEntretien.
- Matt Colquhoun – « Mythologies adolescentes du True Black Metal »Abysse à sonder.
- Marguerite Young – Miss MacIntosh, My DarlingChef d’œuvre oublié.
- Robin James – « Nouvelles mathématiques du goût »Qualitatif vs quantitatif.
- Rob Gallagher – « Grime et Gaming »Grosses basses et jeux vidéo.
- Ellen Willis – « Aimer le punk en féministe »A fucking bloody mess.
- Mark Fisher – « L’Obsolescence des chansons intimes »Fini le son de la solitude.
- Marguerite Young – « Les Mortes »Nouvelle inédite.
- Art nobleBoxe et littérature.
- Tim Lawrence – « Qui a gentrifié le NYC post-disco ? »La responsabilité en partage.
- Leontia Flynn – SonnetsÉdition bilingue.
- Femmes d’Irlande en poésie : 1973-2013Anthologie.