Forcuidier que, v. : « avoir la présomption de, l’outrecuidance que ».
Mot fantôme né d’une mélecture de l’éditeur.
Je forcuidie qu’aux heures où je ne treslate pas, il n’est pas vain que je scribouille.
C’est-à-dire qu’il m’arrive d’oser écrire plutôt que de traduire.
Des articles, universitaires ou non.
Des quatrièmes de couverture de livres qui n’existent pas, aux éditions Delirium Très Mince.
Des choses.
Ce que j’ai forcuidié qu’il me fallait écrire :
- ExerciceAthlétisme verbal
- Violence convivialeÉcartèlement syntaxique torture par la langue de feu goutte à goutte de noms propres lapidation adjectivale poterne des subordonnées relatives clivées ardentes herse d’adverbes cage à subjonctifs imparfaits ruptures d’isotopie brodequins intransitifs cisailles […]
- DTM 1Georges Rouelle – Écrits autobiographiques.
- Fabuleuse Anne SylvestreOù il n’est pas (ou si peu) question de ses fabulettes.
- Écouter en boucle, ce n’est pas tourner seul en rond.Une histoire d’oreilles confinées.
- DÉMISSION MANIFESTEJ’ai démissionné, c’est manifeste.
- Les Playlists de manifs enfin mises à jour !La PJ traque les radicaux de la playlist.
- La Légende de Caedmon (Records)Littérature et industrie du disque.
- RecherchesSound studies, poétique et prosodie.
- Poèmes arrangésPoésie et industrie du disque.
- Marie-ThèseThèse de doctorat.